Laura Clauzel dévoile le clip « Golden Boy » issu de son EP « Paria(h) »

portrait de l'artiste de Jazz Laura Clauzel lors de son EP "Paria(h)"

L’artiste multifacettes résolument moderne Laura Clauzel vient de sortir le clip « Golden Boy ». Ce titre est issu de son EP Paria(h). Découvrons ensemble l’univers dans lequel cette artiste nous plonge dans ce clip.

Aux arts lyriques, Laura mêle également les arts graphiques et la danse contemporaine. Le tout pour en faire un terrain de jeu propice à l’émerveillement. Son nouveau clip « Golden Boy » est à son image : inspiré, profond, habité. Après « The Face of Shame » sur le démantèlement de « la jungle de Calais » et « Female », l’expression d’une conviction intime sur la nature des frontières, Laura Clauzel surprend à nouveau avec le grave et savoureux « Golden Boy » qu’elle incarne de sa voix dense et envoûtante.

L’EP Paria(h) ou le besoin de défendre sa propre musique

pochette de l'EP "Paria(h) de Laura Clauzel

Après avoir écumé autant de scènes à chanter les mots des autres, le besoin de défendre sa propre musique et son univers personnel a fini par éclore. « Paria(h) » en est la toute première mouture. Partant de deux titres composés avec sa petite sœur Fanny Clauzel, le projet s’accélère quand elle rencontre Olivier Bostvironnois (compositeur et réalisateur artistique), qui mixe son premier album Cabaret d’Amour. Ensemble, ils déroulent la musicalité de Paria(h)  sur des mélopées soul, aux confins du jazz et des musiques du monde. Laura y accorde une place prépondérante à la voix et aux harmonisations. C’est donc, comme une révérence aux grandes figures féminines qui l’ont nourrie : Nina Simone, Amy Winehouse, Billie Holiday, Grace Jones, Barbara, Édith Piaf

Instinctive, Laura flirte ainsi avec les genres, les tessitures, et confère une magie déroutante et élégante au verbe. De lignes de vie brisées en brisures de voix, elle incarne à travers ses textes, écrits en anglais, ces destins anecdotiques, voire tragiques, de marginaux égarés. Incorporant des rythmiques parfois trip hop, parfois ethniques, Paria(h) s’habille de nappes amples et de voix harmonisées. Olivier lui donnera toute sa dimension cinématographique.

Les débuts de Laura Clauzel

La messe en Si bémol majeur de Mozart chantée sur les bancs de l’Église Saint Bernard à huit ans fut pour Laura une révélation. Ce fut également le début d’une dévotion immodérée pour la voix et l’incarnation des mots. Son parcours se fera d’errance et de rencontres artistiques. Ainsi, de ses passages à l’école Martha Graham à New York à ses formations aux cours Florent et à l’École Auvray-Nauroy, Laura s’aguerrit sur scène.

Passant de nombreuses années à chanter sur la place du Tertre et sur des scènes parisiennes, Laura éprouve donc ce besoin insatiable de chanter tout ce qu’elle peut. Ce peut être aussi bien du jazz, que des motets classiques ou de la chanson réaliste, révolutionnaire…

Laura Clauzel et les médias

Voici ce que pense le rédacteur en chef du France 3 national Michel Reinette :

« Laura Clauzel a la note bleue. Quand sa voix emprunte les chemins du feeling, elle sait où la trouver pour nous émouvoir. Son deuxième album […] Paria(h) s’annonce comme une arme de séduction massive. Paria(h) recense des œuvres qui possèdent une qualité très rare, celle d’être (dès la première écoute) des hymnes fédérateurs, qui flattent l’oreille et les sens… Et que l’on se surprend soudain à fredonner dans sa tête. »

 La photo de couverture est réalisée par le photographe Philippe LEVY-STAB
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